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    BETROUNI Omar

    1968-1978

    Dix ans de bonheur

     

     

    L'équipe National d'Algérie a tout le temps connu de grands ailiers droits qui ont rendus d'énorms services aux verts.De Berroudji à Bouiche en passant par Guemri ou Chenen, chaque joueur avait son propre style et ses proprs qualités.Seulement il y'a deux joueurs qui ont émergé du lot par leur longévité et par leur palmarès additionné , bien sur, aux immenses qualités techniques.Madjer de 1982 à 1990 et Betrouni de 1975 à 1978 restent à ce jour les seules à avoir enchanté les foules tellement ils ont produits un football de haute gamme durant leur saisons respectives en alliant le beau jeu aux titres et différents sacres. Rabah Madjer était redoutable par sa vitesse de course, sa promptitude, sa vivacité, son aisance à gommer l'obstacle, la précision de ses tirs et de ces centres. Betrouni sans doute moins percutant et moins présent physiquement n'en possède pas moins de talent.Son nom reste associé aux premiers titres conquis par l'Algérie:médaille d'or des Jeux Méditerranéens 1975 et des Jeux Africains 1978 (en plus du 1er titre de champion d'Afrique des Clubs avec le MCA en 1976).Exemple de régularité sportive, de disponibilité, d'esprit collectif, l'enfant de la Casbah a conjugué à merveille l'inspiration et la malice.La feinte, le crochet court, la rapidité, le centre en retrait et le sens du but sont autant d'armes techniques qui lui ont permis de bâtir et de consolider une carrière passionnante et de se prévaloir d'un palmarès national impressionnant.

     

    Né le 9 Novembre 1949 à Alger.Ailier Droit.Omar est un pur produit du Mouloudia Club Algérois.Pour ceux qui ont pu suivre sa carrière, une constatation s'est imposée à eux:il n y'a pas eu de changements notables dans sa manière de jouer.Il est resté le footballeur qu'il était à 18 ans jusqu'en 1985 à sa fin de carrière à la JSEB. Petit gabarit qui l'handicapait pour la conquête des balles aériennes, il compensait cela par une grande vivacité.Grand fignoleur de balle, aux débordements spectaculaire, il s'exprime totalement lorsque le jeu pratiqué par son équipe est basé sur les passes courtes et en Une-Deux.Il a horreur des passes longues, en profondeur alors que sa force réside dans les incursions balle au pied où il parvient à semer la panique au cœur des défenses adverses.

     

     

    A 18 ans Lucien LEDUC le convoque pour l'aligner contre l'une des meilleures formations Africaines, la Guinée pour le compte des éliminatoires des Jeux Olympiques de Mexico.C'était en 1968, aux cotés des stars de l'époque tels Lalmas et la grande armada du grand CRB, Achour, Amar, Abrouk...

      

    Omar va rester Dix (10) longues années au cours desquelles il remportera la médaille d'or des Jeux Méditerranéens en 1975  face à la sélection française dans un tournoi dominé totalement par la bande à Mekhloufi guère connu à cette époque d'où la surprise du triomphe et du sacre.Une bande de copains avides de reconnaissance ont pu prendre leur responsabilité à bout de coeur afin de relever le défi et remplir de joie tout les foyers Algériens.Betrouni en bon capitaine a pu transcender ses coéquipiers pour obtenir la médaille en vermeille de ces jeux et pour parachever son oeuvre il inscrira peut être le but le plus important de sa carrière en équipe d'Algérie.Le but égalisateur à la dernière seconde de la finale contre la France qui donna l'espoir à notre onze pour ajouter le but victorieux durant les prolongations.

     

    Après un sacre africain avec son club de toujours le MCA en 1976, il va récidiver en 1978 lors des Jeux Africains organisé à Alger.C'est d'ailleurs à l'issu de la finale contre le Nigéria qu'il mettra fin à sa riche carrière international.

     

     

    Premier match à l'âge de 18 ans et 7 mois à Casablanca (MAROC), le 07.06.1968 contre la guinée avec pour entraineur Leduc Lucien.

    Dernier match à l'âge de 28 ans et 8 mois à Alger le 28.07.1978 contre le Nigéria avec pour entraineur Rachid Mekhloufi.

    Il a porté le maillot vert et Blanc à 82 reprises et il a marqué 12 buts durant ces 10 ans de présence en équipe Nationale d'Algérie.

     

    Palmarès:

    • 5 Championnats d'Algérie
    • 4 Coupes d'Algérie (1 avec l'USMAlger)
    • 2 Coupes du Maghreb
    • 1 Coupe l'Afrique des Clubs Champions
    • 1 médaille d'Or au Jeux Méditerranéens
    • 1 médaille d'Or au Jeux Africains.

     Vainqueur et élu Meilleur joueur du Tournoi de Roubaix junior en 1968

    3 fois Champions Maghrébin de la Police

    3 ème au Championnat Arabe des Nations (Coupe de la Palestine) en 1973 en Irak

    Champion Régionale avec la JS El-Biar et accession en D2 en 1984/1985.

    Parcours professionnel:

    • 1968-1979 : MC. Alger
    • 1979-1980 : Essais à l'OGC Nice puis entraîneur des cadets du MCA 
    • 1980-1983 : USM Alger
    • 82 sélection avec l'EN (12 buts)
    • 2 fois retenu en sélection du Maghreb , Tournoi inaugurale du stade du "5 juillet" avec la participation de Palmeiras, sélection de Budapest et l'AC Milan en 1972
    • et contre le Pérou la même année au stade du "20 Août"

    Entraîneur de l'EN Minime, Cadette et junior

     


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    BETROUNI OMAR MCA

     

     

    BETROUNI Omar

     

    Son parcours chez le Doyen

     

    1er Buteur du Mouloudia au stade du 5 juillet

     

    12 Saisons - 93 Buts  

      

    Saison 1966/1967 (encore junior 0 but)

    Omar débuta dans l'équipe première du MC Alger à 17 ans (1949-1966) durant la saison 1966/1967 alors qu'il était toujours junior.Son premier match officiel (remplaçant) s'est malheureusement soldé par une défaite à Témouchent contre l'équipe locale , le CRT au stade municipal le dimanche 4.12.1966.

    Dim 04.12.66 Mis à jour à témouchent municipal CRT-MCA 1-0 Saïd 7'
    CRT:Sikki (exceptionellement)-Mankour-Boudiab-Benouar-Moulay-Yahiaoui-Berichi-Messaoudi-Tayeb-Chouirem-Saïd
    MCA:Boukerrou-Marouf-Bousseloub-Metrah-Rabhi-Zouaoui-Bourras-Amara-Aouadj-Oucif.Remplaçant:Betrouni
     
     

    Saison 1967/1968 en N2 (9 buts)

    Dim 8.10.67 Bologhine MCA-CR Témouchent 2-0 Betrouni 54'-Aouadj I 85' MCA

     

    Dim 22.10.67 Bologhine MCA-ASAM 2-2 Oucif 64'-Betrouni 72' MCA / Benzouaï 36'-Benarab 58' ASAM

    Dim 28.01.68 Bologhine MCA-USMB 2-1 Tahir 2'-Betrouni 51' MCA / Mihoubi 90' USMB

    Dim 18.02.68 Bologhine MCA-USMS 6-1 Oucif 9'-Tahir 17'-Mekidèche 20' et 60'-Betrouni 68'-Aouadj I 85' MCA / Toumi 44' USMS

    Dim 24.3.68 Bologhine MCA-SCMO 3-0 Aouadj Z 14' et 23'-Betrouni 38'

    Dim 21.4.68 Bologhine USMA-MCA 1-3 Betrouni 10' et 50'-Tahir 76'  MCA / Guittoun 48' USMA

    Dim 19.5.68 El Annasser OMR-MCA 1-2 Rezzoug 78' OMR / Betrouni 20'-Mekidèche 73' MCA

    Dim 26.5.68 Municipale Batna MSPB-MCA 4-2 Zemmouri 43'-Fritah 55' et 72'-Azzouz 69' MSPB / Oucif 42'-Betrouni 89' MCA 

     

     

    Saison 1968/1969 N1 (5 buts)

    Dim 6.10.68 Bologhine MCA-MCO 2-1 Betrouni 48'-Tahir 63' MCA / ? MCO
    Dim 13.10.68 Guelma ESG-MCA 2-3 Kheloufi 39'-? ESG / Tahir H 27'-Chouchi 34'-Betrouni 62' MCA

    Dim 1.12.68 Bologhine MCA-RCK 2-0 Si Chaib 24'-Betrouni 58' MCA ARB:Chekaimi Expulsion Aouissi (RCK) 70' / Amirouche (RCK) rate un penalty 89'
    Dim 31.3.69 Bologhine MCA-ESG 3-1 Zerrouk 7-Betrouni 18' et 22' MCA / Hachouf 50' ESG

      

     

    Saison 1969/1970  (5 buts)

    Dim 7.12.69 Bologhine MCA-USM Annaba 5-1 Bachta 19' et 82'-Betrouni 57' et 77'-Tahir Hacène 87' MCA / Haouès 55' USMA' (Chute Mortel d'Amrous Tayeb Allah yerahmou)

    Dim 8.2.70 Bologhine MCA-USMBA 2-0 Zenir 14'-Betrouni 44' MCA

    Dim 3.5.70 Oukil Ramdane JSK-MCA 3-3 Kouffi 44' et 65'-Karamani 83' JSK / Zerrouk 20' et 35'-Betrouni 66' MCA

    Dim 10.5.70 Bologhine MCA-MCO 2-2 Betrouni 68'-Cheikh 83' MCA / Fréha 65' et 80' MCO

     

     

    Saison 1970/1971 (7 buts)  (Championnat 2 buts+Coupe 5 buts)

    Dim 22.11.70 Bologhine MCA-MCO 4-1 Mesbah 56' et 60'-Betrouni 73'-Tahir 1 (75') MCA / Mehdi 82' MCO 

    Dim 20.12.70 Coupe 1/32 Stade 20 Aout MCA-JSEB 3-0 Betrouni 12' et 38'-Bachta 55' MCA Arb:Ait Ali-Benelfoul-Benkortebi

    Dim 7.03.71 Zioui NAAHD-MCA 1-3 Chouchi 24' NAAHD / Betrouni 43' pen-Tahir 1 (63')-Bachta 79' MCA 

    Dim 16.05.71 Coupe 1/4 Aller Bologhine MCA-MOC 6-0 Betrouni 6', 73' et 85'-Tahir 1 (10' et 80')-Bachi 32' MCA 

     

     

    Saison 1971/1972 (11 buts)

    Dim 3.10.71 Bologhine MCA-ESS 4-0 Landjerit 26'-Betrouni 32' et 81'-Tahir 1 (64') MCA 

     Dim 17.10.71 Bologhine MCA-WAT 5-2 Betrouni 51' et 70'-Bachi 19'-Tahir 1 (22')-Bachta (53' Pen) MCA / Bentahar 56'-Settaoui 82' WAT  

    Dim 24.10.71  Chabou HAMRA-MCA 1-1 Tadjet 15' HAMRA / Betrouni 77' MCA Arb:Kaid

    Dim 5.12.71 Blida Brakni USMA-MCA 1-3 Hamici 50' USMA / Tahir 1 (32')-Betrouni 78' et 89' MCA 

    Dim 12.12.71 Bologhine MCA-JSMT 2-1 Tahir 2 (55')-Betrouni 72' MCA / Ould Bachir 73' pen JSMT  

    Dim 26.12.71 Zioui NAAHD-MCA 0-1 Betrouni 70' Arb:Chihani-Bakir-Kermiche

    Dim 23.1.72 Bologhine MCA-USMBA 2-1 Betrouni 29'-Tahir 1 (65') MCA / Hamri 82' USMBA 

    Dim 13.2.72 Oukil Ramdane JSK-MCA 1-1 Kouffi 20' pen JSK / Betrouni 63' MCA

      

     

    SAISON 1972/1973 (7 Buts) (Championnat 6 buts + Coupe 1 but)

    Dim 17.9.72 "5juillet" (1er match du MCA dans ce stade) NARA (RCK)-MCA 0-1 Betrouni 76       

     Dim 1.10.72 "5 juillet" MCA-ASMO 5-1 Draoui 24'-Amrous 25'-Betrouni 65'-Bousri 76'-Bachi 89' MCA

    Dim 8.10.72 Jijel JSD-MCA 0-3 Mahiouz 5'-Betrouni 42'-Draoui 88' 

    Dim 18.2.73 "5 juillet" MCA-USMB 3-1 Betrouni 29'-Bachi 42' et 63' MCA / Sellami 86' USMB 

    Dim 13.5.73 "5 juillet" MCA-NAAHD 3-1 Zenir 57' pen-Betrouni 64'-Draoui 76' MCA / Benalouane 69' NAAHD

    Dim 10.6.73 Bouakeul MCO-MCA 5-2 Belkedrouci 13', 37' et 85'-Azzouz (csc 63')-Chaib 83' MCO / Bachi 59'-Betrouni 88' MCA

     Mardi 19.6.73 Finale Coupe "5 juillet" MCA-USMA 4-2 A.Prolongations  Bachi 36'-Kaoua 96'-Bousri 106'-Betrouni 116' MCA / Attoui 18' et 120' USMA

     

     

    Saison 1973/1974 (20 Buts) (Championnat 17 buts + Coupe 1 but + Maghreb 2 buts)

    Dim 16.9.73   "5 juillet" MCA-MCO 4-1 Bousri 72' et 79'-Betrouni 85' et 89' MCA / Chaib 14' MCO  Arb:Benghezal-Benseddik-Kermiche

    Dim 30.9.73 "5 juillet"  MCA-WAT 2-0 Bachi 29' pen-Betrouni 76' MCA 

    Dim 25.11.73 Med Guessab ESS-MCA 2-1 Griche 31'-Benhenni 44' ESS / Betrouni 45' MCA  

    Dim 2.12.73  "5 juillet"  MCA-HAMRA 3-1 Bousri 38'-Betrouni   62'-Bachi 86' MCA / Mahiouz (csc 66') HAMRA

    Dim 16.12.73 "5 juillet" MCA-NAAHD  2-1  Bousri 8'-Betrouni 59' MCA /   Moussouni 22' NAAHD  

    Dim 30.12.73 "5 juillet" MCA-MOC 3-1 Betrouni 31'-Bousri  41'-Draoui 43' MCA / Gamouh 35' MOC

    Le 11/01/1974 à Tunis 1/2 Finale- SCC Mohammadia (Maroc) 1 - MC Alger 3 Buts: BETROUNI 6' et 71' - DRAOUI 33' (MCA) 

    Dim 20.1.74 Bouakeul MCO-MCA 1-1 Ouali 21' MCO / Betrouni 75' MCA

    Dim 27.1.74 " 5 juillet" MCA-USMS 4-1 Bachta 8'-Betrouni 55'-Bousri  63'-Bachi  80' MCA / Khalfa 9' USMS 

    Dim 10.2.74 Coupe 1/16 Bouakeul JSMT-MCA 3-2 A.Prolongations Benmessaoud  10'-Nouar 32'-3ème 119' JSMT / Betrouni  11'-Draoui 61' MCA

    Dim  24.2.74  3 Fréres Amarouche USMBA-MCA 3-1  Amar 6'-Chibane  8' et 15' USMBA / Betrouni 89' MCA

    Dim 3.3.74 "5juillet" MCA-NARA (RCK) 3-0 Betrouni 34'-Draoui 39'-Zenir 81' pen MCA

    Dim 4.4.74 "5 juillet" MCA-ESS 3-0 Bachta 10'-Betrouni 39' et 84' MCA

    Dim 28.4.74  "5 juillet" MCA-USMB 5-0 Bachi 23' et 85'-Betrouni  46' et 86'-Draoui 89' MCA

    Dim 19.5.74 "5 juillet" MCA-ASMO 5-1 Bousri 42'-Bachi 43'-Bencheikh   50'-Betrouni 55' et 79' MCA / Belahouel 71' ASMO 

     

     

     

    Saison 1974/1975 (4 Buts)

    Dim 6.10.74 "5 juillet" MCA-HAMRA 3-1 Bterouni 1'-Ait Hamouda 85' et 88' MCA / Haoues 83' HAMRA

    Dim 27.4.75 "5 juillet" MCA-MOC 4-2 Bousri 33'-Bencheikh 40' et 65'-Betrouni 70' MCA / Bouzenada 53'-Fendi 1(66') MOC

    Dim 22.12.74 "5 juillet" MCA-USMA 3-0 Zenir 23' et 40'-Betrouni 33' MCA 
    Dim 9.3.75 "5 juillet" MCA-MCO 3-2 Zenir 5'-Hadefi (csc 15')-Betrouni 81' MCA / Belkedrouci 3'-Chaib Haddou 56' MCO
     

     

    Saison 1975/1976 (11 Buts) (Championnat 6 buts + Coupe 2 buts + Afrique 3 buts)

    28.9.1975 "20 aout" MCA-WAB 4-3 Betrouni 83'

    12.10.75 "5 juillet" MCA-ASMO 5-1 Betrouni 74'

    Dim 14.12.75 "5 juillet" CRB-MCA 4-5 Mokrani 35'-Belbahri 51'-Zenir (csc 79')-Madani 89' CRB / Zenir 13'-Bousri 21'-Draoui 29'-Betrouni 55' et 84' MCA

    Dim 15.2.76 "20 Aout" Coupe 1/8 MCA-WRSK (Collo) 2-0 Betrouni 7'-Bellemou 19' MCA

    Dim 4.4.76 "19 juin" Coupe 1/2 Aller SA Mohammedia-MCA 1-3 Benfetta 13' SAM / Bachi 16'-Betrouni 87'-Ait Hamouda 90' MCA

    Dim 11.4.76 "20 Aout" MCA-USMBA 7-3 Azzouz 14' pen-Bachi 17' et 77'-Ait Hamouda 23'-Bencheikh 75'-Betrouni 58' et 90' MCA / Bakouche 7'-Abdi 49'-Bachta (csc 70') USMBA 

    30 avril 1976 à Benghazi (Lybie) Ahly Benghazi-MC Alger 3-2 Buts:Marcel 1'-Ezentani 75' / Ait Hamouda (1 mi-temps)-Betrouni (2ème M.T)

    18 Décembre 1976 au stade du 5 Juillet MCA-HAFIA Conackry 3-0 Buts : Bachi (24')-Betrouni (76' et 90')

     

    Saison 1976/1977 (2 Buts) (Championnat 1 but) (Afrique 1 but)

    Vend 1.4.77 Chabou Annaba mis à jour Aller ES Guelma-MCA 2-4 Hamami 2', Belaidi 46' ESG / Ait Hamouda 35', Bousri 54', Bencheikh 78', Betrouni 89' MCA 

    1/8 Retour : 22/05/1977 "5 juillet" MP Alger 3 Kampala City (Ouganda) 2 - Bousri 7' Betrouni 14' Bachta 82' pour mpa et Dungu 54' Kirunda 59' pour kampala

     

    Saison 1977/1978 (9 Buts) 

    Vend 30.9.77 Oukil Ramdane JET-MPA 2-3 (Junior 3-2) Aouis10',Zemmour(csc) 57' JET / Betrouni 11' et 85' MPA

    Vend 14.10.77 Benabdelmalek CMC-MPA 0-3 (Junior 0-0) Betrouni 6' et 60'-Bachi 85' MPA

    V 2.12.77 "5 juillet" MAHD-MPA 3-4 (junior 2-3) Ighil 29'-Fergani 77'-Guendouz 89' MAHD / Bellemou 6' et 50'-Betrouni 42' et 85' MPA

    "5 juillet" MPA-ASTO 3-2 (junior 1-0) Betrouni 11' et 83'-Bousri 86' MPA / Meksi 9' et 30' ASTO

    V 28.4.78 "5 juillet" RSK-MPA 1-4 (MPA CHAMPION) Ouramdane 61' RSK / Ait Hamouda 27' et 85'-Betrouni 71' MPA  

     

     

     

    Saison 1978/1979 (3 Buts) (Championnat 2 buts + Coupe 1 but)

    V 26.1.79 Bologhine USKA-MPA 1-2 Habouche 58' USKA / Betrouni 25'-Bousri 83' Penalty

    V 16.2.79 "5 juillet" Coupe 1/16 MPA-IR Santé 1-0 A.Prolongations (junior MPA-CRB Témouchent 8-1) Betrouni 91' (Après Prolongations) MPA

    Lundi 14.5.79 Mis à jour "19 juin" ASCO-MPA 2-1 Guemri 87'-Mecheri 88' ASCO / Betrouni 57' MPA

     

    Le talentueux ailier droit du MC Alger, Omar Betrouni a inscrit 94 buts en 12 saisons en "vert et rouge".Une fidélité qui aurait pu être encore fructueuse si ce n'était cette absurde décision d'empêcher 6 joueurs Mouloudéens dont Betrouni de continuer à jouer à 28 ans au sein de la meilleure formation de l'époque, le MCA, qui dominait le football algérien.En effet après avoir remporté le championnat nationale durant les 2 premières saisons de la "Réforme" 77 -78 et 78-79; le MCA s'est vu notifié une décision émanante du Ministre de l'époque Djamel Houhou, que les joueurs agés de 28 ans  et plus sont inaptes pour la réforme et la haute performance ! ! !

     

    1er match Dimanche 4.12.1966 au Stade Municipal Témouchent CRT-MCA 1-0

    Dernier match Vendredi 8.6.1979 au Stade du "17 juin" CMC (CSC)-MPA (MCA) 1-2

     

     

    Palmarès

     

    avec le MCA

     

    Champion d'Alger et vice Champion d'Algérie MCA Cadets 1963/1964

    1/2 Finaliste Coupe d'Algérie Junior 1967/1968 battu par SA Sétif

    Champion Nationale II et Accession Nationale I en 1967/1968

     

    5 Championnats d'Algérie: 1971/72-1974/75-1975/76-1977/78-  1978/79

    3 Coupes d'Algérie: 1970/71-1972/73-1975/76

    2 Coupes du Maghreb: 1970/71-1973/74

    1 Coupe d'Afrique: 1976

    Finaliste Coupe Maghrébine des clubs Champions 1975

     

    avec l'EN

     

    International "A": 82 sélections du 27.06.1968 au 28.07.1978

    2 Médailles d'or aux Jeux Méditerranéens 1975 et jeux Africains 1978.

     

    Autres Clubs 

    Une coupe d'Algérie avec l'USM Alger en 1981.

    Champion Nationale II avec l'USMA et accession en Nationale I en 1981

    Champion Régional avec la JS El-Biar et accession en D2 en 1984/1985


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  • BETROUNI OMAR un joueur d'exception

     

    BETROUNI Omar

     

    l'empreinte des géants

     

    http://sebbar.kazeo.com/betrouni-omar-ses-buts-avec-le-mca-a120166316

     

    Il demeure l'un des footballeurs Algériens au palmarès le plus fourni depuis l'indépendance: 5 fois Champions d'Algérie (avec le MCA), 2 fois vainqueur de la coupe du Maghreb , 4 fois détenteur de la Coupe d'Algérie (3 MCA + 1 USMA), 1 fois Champion d'Afrique, 2 Fois Champions de D2 (MCA + USMA), 1 fois Champion Régional (JSEB), Double médaillé d'or avec l'EN aux Jeux Méditerranéens 1975 et aux Jeux Africains 1978, 3 fois Champions du Maghreb avec l'équipe Nationale Algérienne de Police,  vainqueur du Tournoi de Roubaix avec l'EN Junior en 1966.

    C'est au sein du Mouloudia Club Algérois qu'il s'est fait un nom grâce à ses prouesses et ses buts décisifs.Coté équipe nationale d'Algérie c'est aussi une longue carrière jalonnées de sacres et de distinctions.Malgré qu'il soit à chaque fois sous les feux des projecteurs, il a su gardé cette simplicité qui le caractérise et son sens de l'humour pour rendre le contact plus humain.

     Démarche preste, accélérations rapides, sourire permanent dominé par une gentillesse de tous les jours, pas très grand, ni trop musclé, Betrouni faisait partie de cette catégorie d'ailiers capables de faire la pluie et le beau temps d'une équipe.familière silhouette que celle de Omar qui se détachait nettement de celle des autres par ses sautillements et ses crochets devenus célèbres jusque chez les enfants.Qui ne se souvient pas de ses deux buts légéndaires qui ont donnés les premiers titres au football Algériens (1975 avec l'EN et 1976 avec le MCA) ?.

    Jugé comme "vieux" par le ministe des sports Djamel Houhou, il voit sa carrière basculé avec 5 de ses coéquipiers du Mouloudia forcé au départ du par un circulaire douteux en 1978, il rebondit au sein de l'USMA sans difficultés car omar avait du football plein les jambes.Il n'a pas suivi le cheminement habituel du footballeur.Lui, c'est l'exception minime, il était avec les cadets.Cadet il jouait Junior.Junior il était déja en équipe première depuis 1968 à 19 ans déja avec le MCA et l'EN d'Algérie.Il faut être de la graine des grands footballeurs pour s'imposer avec le fracas qui fut le sien lors de son premier match avec les seniors.

     Depuis ce lointain début, Omar a participé aux joies et aux peines du onze national.Il a même été le prodigieux finisseur des grandes actions dans les grands moments.Les jeux Méditeranéens restent aux yeux de tous l'apothéose d'un garçon qui a su saisir sa chance au bon moment sans prendre la grosse tête.En ce 6 septembre 1975 alors que les gradins se vidaient et que le public se mettaient à crier son désespoir, une flambée du petit ailier algérien allait démolir la défense française qui préparait déjà son triomphe.Un but qui valait de l'or et l'amour de tout un peuple.La légende de l'homme providentiel est né ce jour là, et le surnom de l'homme de la dernière minute est devenu un mythe puisqu'il récidivera le 18 décembre 1976 en finale de la coupe d’Afrique des clubs avec le MCA, même stade, même angoisse et même délivrance.délivrance. Hafia Conakry seigneur africain de la balle ronde, fier de deux coupes continentales et prêt à fêter le troisième sacre, apprit à connaitre les échappées meurtrières du numéro sept Mouloudéen.Ce jour là, devant les super-athlètes guinéens, Betrouni choisit d'utiliser ses propres armes qui se résumaient en un crochet et une échappée irrésistible ponctuée par un centre lobe.Le "minuscule" Betrouni entama dès lors un ballet dont il est seul à connaitre les rouages. Il reprit son ballon au centre du terrain, piqua vers le centre , revint à droite "empaqueta" tout le monde dans un superbe dribble et s'en alla assommer les joueurs de Hafia avec un but d'une pureté technique inégalable.On faillit l'étouffer ce jour là, lui, devant le résultat, se mit à courir à la Usain Bolt le bras levé vers le ciel. Sacré Omar.

     Exemple de courage, d'assiduité et d'abnégation dans le travail, Betrouni est resté un modèle de sérieux et d'application. Exemple pour les jeunes mais également pour les athlètes, il a su donner une leçon de modestie et de persévérance durant toute sa somptueuse carrière.

    Djamel SAIFI

     

     

    BETROUNI OMAR un joueur d'exception 

    Deux importantes dates ont marqué sa vie.Il réussira d'abord à hisser sur le podium, l'équipe nationale drivée par Rachid Mekhloufi en finale des J.M 1975.Une année plus tard, il récidive lors de la coupe d'Afrique des clubs champions version 1976.Les buts qu'il avait marqués sont restés dans la légende qui lui vaudra la réputation d'homme de la dernière minute.

    Hassaine

     

    Betrouni Omar
     
     
    L’homme de la dernière minute
     

     

    « Il n’y a pas d’endroit dans le monde où l’homme est plus heureux que dans un stade de football. » Albert Camus .

    Il n’affiche pas la mine harassée de celui qui a passé une longue nuit de célébration. La veille, au stade du 5 Juillet qui a vibré à ses exploits jadis, Omar a eu droit à son jubilé au milieu des siens.

    Les Vert et Rouge ont fêté joyeusement un double événement, la consécration de leur club éternel et l’hommage rendu à l’un de ses dignes représentants : celui qu’on se plaît à qualifier d’homme de la dernière minute... Pourquoi ? Parce que, à maintes reprises, Betrouni a été décisif, faisant basculer le sort d’un match in extremis, redonnant espoir à des milliers de fans résignés et désemparés. Les mystères du foot, c’est ça aussi. Omar Betrouni est ainsi. Aujourd’hui, il est heureux. En se prêtant sans ciller au jeu du photographe, il continue à converser sur le foot, thème qui, apparemment, le passionne et sur lequel du reste il est intarissable.

    Le règne des ingrats

    Betrouni a rendu d’énormes services au foot. La contrepartie n’a pas toujours été au rendez-vous. L’ingratitude, nous dit le petit lutin qui a porté le maillot national à dix-huit ans, qui a grandement pris part aux performances du mca et donné de la joie à des milliers de supporters. Celui qui a tant fait vibrer l’enceinte olympique n’a pas de mots assez tranchants pour qualifier ceux qui se sont ingéniés à le décourager, à lui mettre les bâtons dans les roues pour que ce jubilé tombe à l’eau. Il a failli foirer. « Les décideurs, qui m’avaient donné leur accord, se sont ravisés en usant de subterfuges pour que j’aille me faire voir ailleurs. Quelle hypocrisie ! On m’a exigé 150 millions pour le stade du 5 Juillet, puis on m’a proposé une remise de 30%. J’avais fait des pieds et des mains pour réunir le maximum de joueurs de ma génération, des internationaux marocains et tunisiens, mais la date a été avancée, et le match qui était prévu en ouverture, s’est joué en baisser de rideau. Tout cela n’est pas fortuit. je suis outré, en faisant une comparaison avec d’autres manifestations organisées par ces mêmes décideurs à coups de milliards, en faisant venir des étrangers qui ont eu droit à des sommes mirobolantes et auxquels les officiels zélés font des courbettes en déroulant le tapis rouge. Quel gâchis ! »

    Betrouni mérite tous les égards : « l’enceinte du 5 Juillet, qu’il a fait sortir de sa triste solitude à maintes reprises, lui est redevable », tente de justifier Zouhir Bestandji, un vieux mordu du Doyen. Figure de légende du Mouloudia, Omar n’éprouve cependant ni rancune ni rancœur, connaissant à fond le « système ». Son mariage d’amour avec le ballon rond dure depuis de longues années. Il préfère s’y retremper : « J’ai commencé au collège de Notre Dame d’Afrique à la fin des années cinquante, et comme poussin à l’asse sous la houlette de l’entraîneur Idzou qui officiait au stade de Saint Eugène, où mon oncle Kayas Mohamed faisait de l’athlétisme. Un jour, au lendemain de l’indépendance, en fouinant dans les dossiers laissés par les Français au niveau des vestiaires, on tombe sur ma licence. ‘‘Mais c’est un arabe !’’, s’est exclamé le coach. C’est ainsi qu’en 1962 il y avait un match amical entre le mca et Hamam Lif à Saint Eugène. On nous avait convoqués pour jouer en ouverture. Tous mes camarades ont été alignés sauf moi. ‘‘Il est trop petit, trop frêle’’, a expliqué l’entraîneur ». Djazouli, un dirigeant, a insisté : ‘‘c’est le dernier, il faut l’essayer’’. « Je n’étais pas plus haut que trois pommes. Je tremblais... Je suis rentré en deuxième mi-temps. Là, ils ont découvert que j’avais du talent. On perdait 1 à 0. Hassan Tahir était arrière central. J’avais égalisé. Les supporters m’avaient réservé une exceptionnelle ovation. Depuis, les entraîneurs qui se sont succédé au mca, El Kamal, Foula, Lemoui, Khabatou me faisaient même jouer en catégorie supérieure malgré mon jeune âge. Parallèlement, j’étais au lycée El Mokrani et je me rappelle d’une flamboyante finale remportée à Oran face au lycée de Guelma. Je me souviens que le trophée nous a été remis au stade Ouaguenouni par Bouteflika. » Betrouni participe positivement au concours du jeune footballeur. Il remporte le 10e tournoi international juniors de Roubaix en 1966 avec les Allili, Taouti, Kaoua, Sellami Koffi, Mokrani, Zerouk, Chaoui, Hadefi, Ghomari...

    Premier match à Témouchent

    Mais le baptême du feu aura lieu à Témouchent en 1968 où Omar joue son premier match senior avec le mca. Deux ans après, il remporte la première Coupe d’Algérie avec le mca, vainqueur au stade du 20 Août de l’usma. Lucien Leduc, alors sélectionneur national, déclarait en technicien avisé en désignant Betrouni : « Vous avez là un joyau, surtout prenez-en grand soin », aux journalistes qui critiquaient la présence d’un jeune pas très athlétique dans la cour des grands, comme Lalmas, Selmi, Atoui... Petit gabarit, Omar compense par une grande vivacité et des débordements spectaculaires qui laissent impassibles et pantois des défenseurs dépassés. A la suite de la débâcle de 1974, et la déconfiture face à la Tunisie, les décideurs se rabattent sur l’équipe militaire dirigée par Mekhloufi qui fera office de sélection nationale. « Tous les joueurs étaient militaires. Comme ils n’avaient pas d’ailier droit, ils m’ont fait appel, je ne faisais pas partie du contingent. J’étais officier de police ».

    khabatou le meilleur

    Cela n’empêcha pas les coachs de lui attribuer le brassard de capitaine avec comme objectif faire un bon parcours aux jm d’Alger de 1975. « Il y avait de gros calibres, la Turquie, la Yougoslavie, la Tunisie... le déclic s’est produit après la victoire contre l’Egypte sur un but de Draoui. On avait gagné le public et les autorités qui en demandaient toujours plus. On est arrivés en finale, et devinez contre qui ? Contre la France. C’était la veille du Ramadhan et le k.o était dans l’air. Il fallait à tout prix gagner. A la mi-temps, on perdait 2 à 1. Zerguini, dans les vestiaires, était en contact avec Boumediène dont le message porté à la connaissance des joueurs disait en substance ‘‘Il n’est pas question que la Marseillaise soit jouée au 5 Juillet’’. On a ouvert les Jeux avec Qassaman. Ils se termineront avec l’hymne national. Bon courage. Il en fallait une bonne dose dans de pareilles circonstances. J’étais capitaine. Il nous restait 45 mn. J’ai dit à mes coéquipiers qu’il fallait y croire jusqu’au bout. Je crois qu’à deux minutes de la fin, Boumediène partait lorsqu’il entendit une énorme explosion, 80 000 supporters qui retenaient leur souffle avaient laissé libre cours à leur joie. Comment cela s’est-il passé ? J’ai débordé et centré. J’avais entendu le cadran lumineux qui avait fait un bruit en s’éteignant. J’ai vu le gardien partir dans la bonne direction mais un de ses équipiers a mis son pied en détournant la balle dans l’autre sens. Je n’y ai pas cru. C’était un flash. Mais j’ai vu les filets trembler, c’est là que j’ai réalisé. Les policiers, les agents, les journalistes sur la main courante se sont rués sur moi. Les Français avaient l’impression d’avoir reçu le ciel sur la tête. » Les prolongations deviennent une affaire algérienne. Quand la victoire est proclamée, tout Alger est en extase. La clôture des 7e Jeux méditerranéens se transforme en véritable carnaval. « Je me souviens qu’en guise de prime, nous avions reçu un carnet cnep garni de 2000 DA ! Mais plus que l’argent, la communion avec les gens dans la rue n’avait pas de prix. »

    L’épopée de la coupe d’Afrique

    Puis il y a eu la coupe d’Afrique des clubs de 1976 : « C’était un défi réussi avec Abdelkader Drif. Cette victoire a ouvert la voie à d’autres clubs. C’était une période formidable. Le pays était fort par ses joueurs mais aussi par ses responsables qui ont réussi à faire plier la caf, celle-ci avait pardonné à Bencheikh suspendu qui a pu jouer la finale face à Hafia Conackry. » Omar a, eu lui aussi, sa traversée du désert. Il évoque son plus mauvais souvenir sans en rajouter, lorsque les joueurs de sa génération avaient été renvoyés comme des malpropres au lendemain de la réforme sportive. « J’avais tout juste 28 ans et je pouvais encore donner. Je devais jouer à Nice où Mustapha Zitouni m’a orienté aux côtés de Bijovic et Bousdira. je voulais terminer ma carrière en apothéose, mais le ministère a refusé de me délivrer l’autorisation. Je suis resté une année sans jouer jusqu’au jour où Benfadah est venu me solliciter pour jouer à l’usma qui venait d’être reléguée en deuxième division. Après plusieurs approches, j’ai cédé. On a terminé le championnat avec 7 points d’avance et offert à l’usma sa première coupe d’Algérie après 7 finales ratées. Ça a été deux années pleines de satisfaction que je ne regrette pas », dit-il avec assurance bien que des irréductibles mouloudéens n’avaient pas digéré son passage chez le frère ennemi et mal apprécié cette escapade. Les sages du vieux club algérois se contenteront eux de cette boutade lorsqu’ils sont interpellés par les Rouge et Noir. « Avec Omar, nous vous avons envoyé la baraka.

    C’est grâce à nous que vous avez effacé le signe indien. » Lundi, Betrouni avait le même sourire et le même enthousiasme après le sacre des Vert et Rouge. « J’ai souhaité cette victoire et cette consécration pour les jeunes qui se sont bien battus durant toute la saison. Mais je demeure perplexe pour l’avenir du mca. Je persiste à dire que c’est l’arbre qui cache la forêt. Il faut mettre le holà. Il faut un changement radical au niveau des dirigeants. Le club qui n’a pas d’infrastructures propres est dirigé à distance sinon par la rue. Comment voulez-vous évoluer dans un environnement aussi hostile. » quant à l’en, Omar pense qu’« on a accusé du retard pour constituer cette équipe qui a subi trop de changements et qui se retrouve avec 7 blessés. Aujourd’hui, nous n’avons pas d’équipe prête à jouer le 1er match contre la Slovénie. Je leur souhaite un bon départ, car c’est cela qui compte. Mais je dis qu’il y a des interrogations. Pourquoi ramener Guedioura et ne pas le faire jouer à son poste ? Et puisque le coach dit que le résultat importe peu contre l’Eire, pourquoi ne pas titulariser d’emblée Mbolhi puisqu’on connaît la valeur de Chaouchi ? Beaucoup reste à faire en attaque marquée par sa stérilité. » Le professionnalisme pour Betrouni n’est pas une panacée. Il faut un cahier des charges qui impose des infrastructures adéquates, des centres de formation, quitte à commencer avec 4 ou 5 clubs seulement. « Il n’est pas honteux de suivre l’exemple des autres... »

     

    Parcours :
    Omar betrouni est né le 9 janvier 1949 à Alger. Formé au MC Alger, il reste plus de 10 ans dans ce club. Il termine sa carrière à Dellys à 40 ans en passant par l'USMA et le JSEB. Il fut le héros de la finale remportée des Jeux méditerranéens en 1975 et a fait parler de lui, l’année suivante en 1976, à la finale qui a opposé le MCA au Hafia de Conakry pour le compte de la Coupe d’Afrique. Betrouni compte 82 sélections avec l’équipe nationale. Il est champion d’Algérie (1972-1975-1976. 78 et 79 avec le MCA, vainqueur de la coupe d’Algérie en 1971, 73 et 76 toujours avec le MCA et en 1981 avec l’usm alger, vainqueur des Jeux africains en 1978.  il a inscrit 59 buts en équipe nationale. Il considère Ismaïl Khabatou, son entraîneur, comme l’un des plus compétents sur la scène sportive algérienne.

    Hamid TAHRI

    El Watan du 3.6.2010


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    MADIOU Noureddine: MCA Volley Ball

     Madiou Noureddine

     sportif infirme qui a flirté avec le haut niveau

     
     
     
    Quand le sport algérien a le blues

    « Quand l’ordre est injustice, le désordre est déjà un commencement de justice » Romain Rolland

    Mes parents étaient fiers de moi, mes enfants aussi, je peux dire que je suis l’auteur d’une carrière exemplaire. Surmonter son handicap et s’imposer à un haut niveau avec toutes ses contraintes et exigences ne sont pas chose aisée. Pourquoi le sport algérien connaît-il une telle déconfiture ? Il faut un état des lieux pour se ressaisir



    Dans le monde fabuleux du sport, le sien, Nouredine est une exception. Infirme de naissance, avec un pied difforme, il a su se frayer un chemin respectable, taquinant le haut niveau avec une insolente détermination. « C’était le meilleur passeur du volley national et l’un des plus doués de la balle au filet. J’avais de l’affection et de l’admiration pour lui. C’est un exemple de courage et de tenacité », témoigne Mostefa Chaour, un des éléments clefs du six national des années soixante. Et pourtant, il n’avait pas la tête de l’emploi, une taille moyenne, plutôt petit pour ce sport exigeant qui aime les hauteurs.

    Décrit par ses coéquipiers comme un modèle d’intelligence critique, toujours en éveil, d’intégrité et de modestie, Nouredine restera, en effet, attaché à l’histoire du volley-ball national qu’il affectionne depuis plus d’un demi-siècle. Son visage tout en angles dit quelque chose du personnage. Silhouette grise et sourire flottant des timides, Nouredine impose sa voix. « C’est à Hamma Marine, Belcourt, que je suis né en 1942 et fait mes études primaires. C’est grâce à mon instituteur, M. Perret, grand sportif, que j’ai capté l’amour du volley-ball ; notre maître nous initiait à ce sport, pendant la récréation dans la cour centrale. Nous qui étions plutôt portés sur le football, comme tous les jeunes, prenions ainsi un chemin singulier qui tranchait avec les habitudes. En tout cas, en ce qui me concerne, M. Perret a décélé en moi des qualités techniques hors du commun malgré mon infirmité. Il était entraîneur de l’équipe de volley ball de l’ASCFA d’Alger.

    Un battant, un gagneur

    Il a tout fait pour que je signe ma première licence dans son club. Comme j’étais jeune, il a fallu un double surclassement pour que je puisse évoluer en seniors. J’étais le catalyseur, le passeur. » Parallèlement, Nouredine poursuit ses études secondaires au lycée Bugeaud (Emir Abdelkader) qu’il arrêtera en raison de la guerre. Durant tout son parcours, il n’aura de cesse de vouloir concilier savoir et pouvoir, sachant se bâtir un moral d’acier. Imaginatif, entreprenant, il est du genre à agir et ayant pris goût à son sport, il ne pouvait s’en séparer.

    De fait, dès l’indépendance, alors qu’il bouclait ses vingt ans, Nouredine se retrouve sélectionné avec onze de ses camarades sous la conduite du regretté Rachid Meknache. « Nous avons joué notre premier match sous les couleurs nationales à Annaba, sous la houlette de M. Bengaouer. Nous avons battu les Tunisiens 3 sets à 2. » Cela se présentait déjà sous les meilleurs auspices. Pour rien au monde, il ne pouvait quitter ce milieu dans lequel il a affirmé sa personnalité, nourri d’une appétence pour les combats solitaires et doté d’un courage à toute épreuve qui l’amenait à braver tous les défis. Il se souvient très bien de son grand baptême du feu aux Jeux de l’amitié de Dakar en 1963. « L’équipe était formée de 6 Français d’Algérie et de 6 Algériens sous la conduite de Pierre Cocan, un gars d’Hydra. C’était le premier sélectionneur. Il est devenu par la suite président de la Ligue nationale française de volley-ball, tout en restant très proche de l’Algérie. De cette période, je garde des souvenirs impérissables. Quel bonheur pour un jeune comme moi d’être en équipe nationale en compagnie de copains avec qui on partageait tout, comme Ferkioui, Chebahi, Chenounou, Mehani, etc ! Puis ce furent les Jeux du Ganeto à Djakarta, le pendant des Jeux olympiques de Tokyo de 1964. On commençait à connaître ce que voulait dire le mouvement des non-alignés dont notre pays faisait déjà partie. »

    Comme l’écrivait subtilement Luis Borges : « Toute destinée si longue et si compliquée soit-elle compte en réalité un seul moment, celui où l’homme sait une fois pour toutes qui il est. » Et Nouredine, mature et décidé, savait déjà où il allait en affinant une vocation précoce. Ne dit-on pas que sans ambition, il n’ y a point de talent ? Et de l’ambition, notre volleyeur en avait à revendre, sans en arriver évidemment à la prétention. L’ambition est la seule maîtresse dont l’homme ne se lasse jamais. Elle lui rend le goût de lui-même. Nouredine en a fait son leitmotiv. Et puis, il a cet art de mettre des mots sur tant d’émotions. « Nous étions encadrés par des hommes merveilleux comme le Dr Bourkaïb, premier président de la Fédération algérienne de volley-ball. Un homme passionné, intègre et connaisseur. A Djakarta, on avait fini sixièmes, mais c’était une performance au regard des grosses cylindrées qui étaient sur place », se souvient-il.

    À cœur vaillant

    Il replonge dans les reminiscences d’une carrière accomplie, aboutie et trépidante. Lorsqu’il évoque ce qui a structuré sa vie sportive, il saute d’emblée sur la période où il était entraîneur-joueur au GLEA : « J’ai joué juisqu’en 1970. J’ y ai formé une brochette de joueurs de niveau avant d’opter pour le NARA, porte-flambeau de Sonatrach. » Nouredine y sera intronisé entraîneur en 1972. Suivra une longue lune de miel qui durera un quart de siècle, parsemée de titres et de consécrations, coupes-championnats, sans compter le nombre record de sélectionnés fournis à l’équipe nationale. Notoriété et récompenses ne lui font-elles pas parfois tourner la tête ? « On doit être à la haueur du titre et l’honorer. C’est une grande responsabilité. » Nouredine n’est pas de ceux qui s’enivrent de compliments. Il a appris la remise en question. Régulièrement, il dit que « sans les autres, il ne serait jamais là ». Alors, il veut à son tour transmettre sa passion…« Je remercie de tout cœur Sonatrach qui m’a donné la possibilité de m’affirmer et de confirmer, chose que je n’aurais pas pu développer ailleurs », confesse-t-il, reconnaissant. Nouredine n’évoque ses faits d’armes qu’avec une extrême pudeur. Ce qui est frappant, c’est qu’il ne cherche pas à se valoriser avec un vocabulaire pompeux.

     

    MADIOU Noureddine: Champion d'Afrique avec le MCA en 1988 MADIOU Noureddine: Champion d'Afrique avec le MCA en 1988

    Champion d'Afrique avec le MCA en 1988

     

     

    Pourquoi le sport a périclité

    « J’ai eu la chance inouie d’encadrer l’équipe nationale en 1989. J’en tire une certaine fierté. On a joué le championnant d’Afrique des nations à Abidjan. Nous sommes arrivés en finale qu’on a perdue honorablement contre le Cameroun, mais j’en garde un excellent souvenir. C’était une salve salvatrice, un déclic pour l’équipe qui est allée chercher le titre au Caire en 1992, sous la direction de Zerdouni. » « Sur le terrain, c’est un passionné déchaîné qui gesticule et crie, vivant à fond le match. Tout le monde connait ses colères homériques, mais au fond, il a bon cœur et nul ne peut lui contester son côté bagarreur et gagneur », relève un de ses anciens joueurs qui lui voue respect et considération.

    Après de bons et loyaux services à Sonatrach, Nouredine est, depuis, à Blida où il contribue grandement à l’émergence de l’équipe qui ne se prive pas de goûter aux délices des consécrations : coupe et championnat d’Algérie, championnat d’Afrique. « Les dirigeants blidéens m’ont fait confiance. Ils ont misé sur la formation et l’histoire leur a donné raison », confirme Nouredine appelé aussi à siéger depuis 2004 en tant qu’élu à la Fédération algérienne de volley-ball. « Le président Gougam m’a confié la mission de redorer le blason technique de notre volley. Je pense sincèrement que l’équipe algérienne va dominer le continent africain durant la décennie à venir, à condition de continuer sur la même lancée », prévient-il avant de donner son avis sur notre élite « sûrement compétitive à un haut niveau ». Noureddine fait plus que raconter. Il veut secouer, provoquer en n’oubliant pas sa propre condition. Il le dit en toute simplicité sans complexe.

    Un défi à la nature

    « J’ai été un défi à la nature, j’ai défrayé la chronique », aime-t-il répéter au détour d’une anecdote. « En 1989, nous avons participé à un tournoi international à Baghdad, nous devions affronter le Koweït, qui était déjà en froid avec l’Irak. Par ma discrétion, je restais toujours le dernier avant d’accéder sur le terrain après les joueurs. Le préposé à la sécurité m’en avait empêché, pensant à un intrus. Les joueurs sont intervenus et j’ai pu entrer quand même. Lorsqu’on a gagné, j’ai été acclamé comme pas possible par le public irakien, j’étais devenu leur héros. » Mal vu, déconsidéré en raison de son « physique », Nouredine a su déjouer tous les mauvais plans pour s’imposer tel qu’il est. « en Tunisie, raconte-t-il, on jouait un match capital en 1966. On perdait par deux sets et le public local pensait que la partie était gagnée. J’ai, sans fausse modestie, été à l’origine du renversement de situation ; on a gagné 3 à 2. Le lendemain, la presse rapportait que la Tunisie avait perdu contre Madiou. Encore une fois, j’étais sacré héros. »

    Puis, Nouredine d’avouer que son défaut est peut-être l’excès : « Je dis toujours que la passion dévore la raison. Je ne cache pas que j’ai la rage de vaincre. Ça me colle à la peau. J’inculque ça à mes joueurs, je suis entier aussi bien sur le terrain de jeu qu’en dehors. » Et lorsque nous lui demandons ce qu’il pense du sport algérien en général, il se tait un moment. Suit soudain un plaidoyer furieux, sans nuances, en faveur du sport qui n’a jamais connu pareille descente aux enfers. Notre sport a le blues. « Il y a vraiment problème. Le sport est devenu lucratif. On forme les joueurs, les entraîneurs. Pourquoi ne le ferait-on pas pour les dirigeants ? Les résultats enregistrés globalement sont en deçà des attentes et des moyens dégagés. La salle Harcha pour qui s’en souvient était un lieu mythique de bénédiction. Aujourd’hui, il n’y a plus cet engouement.

    Pourquoi ? A mon sens, il faut des décisions salutaires. Il faut mettre la pression, pas jusqu’à l’épée de Damoclès, tout de même, sur ceux qui dirigent. On a l’impression que dans les fédérations on est là pour se servir et non pour servir. Le ministère doit être performant. Nos championnats sont squelettiques. Il faut que les compétitions soient attractives. C’est pour cela que j’espère que le décret portant renouvellement des instances sportives soit salutaire. J’ai bien peur que ceux qui ne faisaient que se servir reviennent. C’est ma grande inquiétude. Moi, ce que je fais, je le fais par passion. J’ai eu des contrats mirobolants au khalidj et en Tunisie, mais j’ai décliné les offres, considérant que ma place est ici en Algérie et nulle part ailleurs... »

    Parcours

    Né à Belcourt le 25 juillet 1942, Nouredine Madiou saura surmonter son handicap, un pied difforme, pour s’affirmer comme l’un des meilleurs volleyeurs que le pays ait connus. Cet amour pour le sport, il le doit à son ancien instituteur, un Français, qui lui a inculqué le goût de l’effort. Sélectionné à plusieurs reprises, il a longtemps évolué à Sonatrach, avant de jeter son dévolu sur Blida où il exerce toujours en qualité de manager général. Nouredine a reçu plusieurs offres pour exercer son talent ailleurs, mais il a préféré rester au bercail. 

    Par Hamid Tahri

     
     
     

     

    Adieu l'ami

    Si je devais mourir, je serais comblé si cela survenait sur un terrain de sport, nous confiait Madiou, il y a quelque temps. Et bien, son vœu a été exaucé et Nouredine doit baigner dans la sérénité qui sied aux hommes de sa trempe.

    Un homme juste, toujours disponible qui s’est dévoué pour les autres sans rien demander en contrepartie. Il était surtout un sacré passionné de volley-ball qui a su, malgré son handicap, magnifier ce sport à son plus haut niveau. vendredi, le créateur l’a rappelé auprès de lui alors qu’il s’apprêtait à vivre passionnément le match qui opposait son équipe, l’USMB, au GSP (ex MCA) son autre équipe, pour lesquelles il s’est dépensé sans compter, au cours de ces dernières années. Le sort en a décidé autrement et Nounou est parti sans nous dire adieu, laissant l’image d’un sportif accompli qui est arrivé aux sommets grâce à une volonté de fer, une détermination et une abnégation que lui envieraient bon nombre de ses camarades et que tous ceux qui l’ont connu saluent bien bas.

    Son handicap, il n’en faisait pas cas. Courtois et entier, Nouredine assénait ses vérités sans le moindre complexe. Il aimait les gens et ceux-ci le lui rendaient bien, car il n’avait que des amis. Rassembleur, proche des gens, il usait de toutes ses compétences pour arrondir les angles et concilier les parties en conflit. samedi, au cimetière de Sidi M’hamed, il y avait foule pour l’accompagner à sa dernière demeure. Même dans sa mort, il a rassemblé des sportifs de toutes générations venus lui rendre l’hommage qu’il mérite. Il ne pouvait en être autrement. Adieu l’ami, on t’aimait bien...

    Hamid Tahri

     

     Madiou n’est plus

    A quelques minutes du coup d’envoi du match USM Blida – GS Pétroliers (N1) qui devait se dérouler vendredi 22.1.2010 à la salle Chalane de Blida, le coach blidéen Noureddine Madiou s’affaissa subitement sur le parquet. Le médecin de l’équipe ne fit que constater le décès subit du doyen des entraîneurs algériens, victime d’un arrêt cardiaque. Le défunt avait le volley dans le sang. Il était joueur avant l’indépendance au GSA Hydra avec son compère Chenoun. Après l’indépendance, il fut un brillant joueur de l’EN. Il a été également entraîneur du MCA pendant plusieurs saisons, avec lequel il remporta plusieurs titres. Il fit de même avec l’USMB qu’il retrouve cette saison. Le destin a voulu qu’il meure à l’âge de 69 ans juste avant un match entre deux équipes qu’il chérissait particulièrement.Très peiné par sa disparition, on présente à sa famille nos sincères condoléances et implore Dieu le Tout Puissant d’accueillir le défunt en Son Vaste Paradis. « A Dieu nous appartenons et à Lui nous retournons. »


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    SMAIL KHABATOU
    Du football plein la tête

    Un nom célèbre dominant technique du football algérien. Celui qui ne
    l’a pas connu en a forcément entendu parler. Il est tellement
    important dans la sphère du ballon rond !
    Smail KHABATOU découvre le Mouloudia très jeune. Grâce à ses qualités
    techniques extraordinaires, il est titulaire à part entière pendant de
    longues années. Il est des rares joueurs à jouer à tous les postes
    sans contrainte aucune. Il est donc polyvalent à merveille et prêt à
    couvrir toute défection de joueur à un poste donné. Il facilite, de ce
    fait, la tâche de l’entraîneur en cas de besoin. Il est menu d’un
    souffle inépuisable et d’une clarté dans le jeu qui peut le faire
    accéder au niveau des plus grandes équipes professionnelles étrangères
    de l’époque. Mais cette idée est à écarter, puisque l’amour voué au
    club éliminait toute tentation de changement d’air

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    A ses débuts avec le Stade Algérois 1937-1938

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    Il connut plusieurs générations en tant que joueur. L’âge et
    l’expérience aidant il répondit à l’appel du club pour devenir
    entraîneur joueur, rôle qu’il teint avec brio malgré difficultés à
    maîtriser les deux rôles en même temps, les concilier. Aguerri déjà
    par les longues années d’activités du terrain, il passe un stage de
    formation et de perfectionnement en France en compagnie des ténors de
    l’encadrement du football Français à savoir : Henri Guerin, Georges
    Boulogne, Albert Bateux et non des moindre où il occupe les premières
    place dans l’ordre du classement. Bien des égards lui seront reconnus.
    A ce titre, Georges Boulogne, entraîneur de l’équipe nationale
    Française n’a pas manqué de faire des éloges à son endroit, lors des
    jeux Méditerranéens d’Alger en adressant à Monsieur ABDOUNE MAHMOUD ex trésorier de la FAF : » Vous savez Smail Khabatou dispose de qualités
    certaines d’entraîneur. Il est en mesure de prendre en charge
    n’importe quelle équipe Européenne. Le reste c’est tout juste des
    ouvriers professionnelle ».
    Les propos ont été longuement vérifiés. Smail Khabatou est capable de
    changer un résultat sur la base de données et visions qui sont
    propres.

    "Le Doyen conte le Mouloudia" DJAZOULI MOULOUD

     

    Smail Khabatou reste à ce jour l'homme qui donna à l'algérie l'une des plus belle équipes qu'a connu le football Algérien en l'occurence le MC Alger qui domina le football national , maghrébin et Africain durant les années  70  avec ce mémorable triplé réalisé par ses jeunots en 1976 après avoir remporté un nombre incalculable de titres auparavant : Doublé coupe d'algérie et maghreb en 1971, Championnat d'algérie 72-75-76, Coupe du Maghreb 74, Coupe d'Algérie 73-76, Champion d'Afrique 76

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    Reconnaissance des joueurs

    BERKANI Krimo MCA

    Quel est l’entraîneur qui vous a le plus marqué ?
    Lucien Leduc en équipe nationale, Khabatou et Ali Benfaddah au MCA et René Vernier au NAHD, m’ont laissé la meilleure impression pour leurs grandes compétences et leurs immenses qualités humaines.

    KOUICI Mustapha CRB

    Quel est l’entraîneur qui a forcé le plus votre respect ?
    Smaïn Khabatou a été et de loin mon préféré. En plus de ses compétences professionnelles reconnues par tout le monde, il avait le don des valeurs sportives.

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