• CAB 1-0 MCA
    Batna - Stade du 1er-Novembre

    Arbitrage de Abdellah, Kerrai, Benchaia
    Les Equipes :
    CAB
    MCA
    Hamenad - Soualah, Kherbouche, Arâar, Chebana (Doumbia), Amieur - Amaouche, Kebia (Khennab), Zeroual (Meziani) - Hamdaoui, Traoré. Entraîneur : Bouâarara.
    Ouamane - Coulibaly, Bouacida, Galoul, Babouche - Younès, Hadjadj, Hamadou, Illoul (Badji 46') - Bouguèche, Sidibé (Tahraoui).
    Entraîneur : Fabbro
    .

    Buts :
     
    Amieur (39')

     

    Circulez y ' a rien à voir

    La honte


    Quand j'ai dit qu'on a pas une équipe aprés l'élimination face au nasr esaoudi on m'avait  dit faut pas tirer sur l'ambulance.Le constat est là
    Argent Argent Argent et les résultats yjib rabi.
    un putsh pour un même résultat:élimination en coupe arabe et en coupe de la caf, la honte en championnat en attendant la coupe.
    45 minutes sans aucune action digne d'un équipe de foot c'est dégoutant.

    on a été battu par l'asmo mais pas la jsk alors qu'on a un supposé meilleur effectif qu'eux.le foot c'est pas les noms mais la hargne et l'envie de gagner, on a rien de ça.BATNA nous a battu sur un terrain en gazon sans être un foudre de guerre, quel autre excuse encore, la neige le froid? l'arbitrage?ouamane et le faux rebond? kwara et le voyage harrasant? non non et non cette fois c'est une défaite de trop, je crois plus en vous tout simplement staff dirigeant et joueurs.Heureusement que les supporters................ sont notre fiérté.


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  • Coup de la CAF / MCA : La suspension d’Abdouni, Coulibaly, Babouche, Chaoui, Bouacida et Hadjadj con
    La sanction d’Abdouni reste extensible

    Couperet un Coup dur pour le MCA qui affrontera Kwara United avec une défense complètement décimée. Six joueurs (5 défenseurs et un milieu de terrain) manqueront à l’appel dimanche prochain.

    Selon le président du directoire qui gère les affaires du Doyen, Omar Katrandji, son équipe vient de recevoir une notification dans laquelle a été mentionnée la suspension de six de ses joueurs pour le match retour du match entrant dans le cadre de la coupe de la CAF qui aura lieu dans une semaine. En effet, il s’agit d’Abdouni, Coulibaly (exclus lors du match) ainsi que Babouche, Chaoui, Bouacida et Hadjadj qui ont été noyés par le rapport accablant du commissaire au match, le Béninois Bruno Didavi qui a accusé les joueurs cités ainsi que Khaled Adnène d’avoir agressé l’arbitre. Une lourde sanction pour le MCA qui devra ainsi composer son onze rentrant décimé par l’absence de tous les joueurs de sa défense. La confirmation de la durée de ses suspensions sera connue lors de la prochaine réunion technique de la commission de discipline de la Confédération africaine de football qui aura lieu cette semaine. ? cet effet, nous avons appris que le gardien de but Merouane Abdouni qui a été accusé d’agression contre officiel risque de voir sa sanction s’étendre au championnat national dans la mesure où selon une source sûre, la Confédération africaine de football aurait transmis son rapport à la FIFA.
    Selon le règlement, la sanction est extensible et le MCA sera privé ainsi de son gardien de but titulaire pour la suite de la saison. Il y a eu d’ailleurs un cas similaire, il y a quelques semaines. L’attaquant du CA Bordj Bou- Arréridj, Mohamed Mehdaoui, avait eu un comportement indigne contre l’arbitre de la rencontre face au Zamalek. Ayant été suspendu par la l’Uafa, Mehdaoui avait aussi écopé de dix matches de suspensions par le FAF. «J’ai reçu une correspondance de la part de la Fédération algérienne de football qui m’a notifié la suspension de quatre éléments du club après les incidents de la rencontre aller face au Kwara United.Je pense que c’est une pure manœuvre orchestrée par le commissaire et l’arbitre de la rencontre. Même si nous ne sommes pas à l’abri de tout reproche, je me demande comment un joueur comme Hadjadj peut agresser un arbitre. C’est absurde. Bouacida, en tant que capitaine d’équipe, son rôle est de protéger les droits de son équipe. Maintenant que nous sommes devant le fait accompli, nous allons effectuer les démarches nécessaires pour recouvrir notre droit. Il est impensable que de victimes, nous allons devenir les accusés qu’il faut châtier. Nous avons déjà transmis un rapport à la CAF après le retour de la délégation au pays et nous avons mentionné la partialité de l’arbitre et du commissaire de la rencontre. Le rapport tient aussi compte des lamentables conditions d’hébergements, auxquelles ont été confrontés les joueurs et toute la délégation qui s’est rendue au Nigeria», nous a déclaré, hier, le président du directoire Omar Katrandji. Le MCA qui devra affronter Kwara United est en train de voir ses chances de qualifications s’amenuiser devant cette situation qui risque de voir l’équipe entrer sur le terrain avec seulement quinze joueurs titulaires de licences africaines.
    L’éventualité de faire appel aux joueurs Bamogo, Maouche et Feghaoui n’est pas d’actualité. «Devant cette situation, personnellement je suis pessimiste quant à la qualification de l’équipe au prochain tour.
    Cela dit, nous allons faire en sorte de réunir au maximum les atouts pour jouer nos chances à fond. Une chose est sûre, nous allons faire le maximum pour ne pas avoir des regrets après
    », a souligné Katrandji.

    MCA - Kwara United au stade de Kouba à 15 heures


    Le match retour de la coupe de la CAF qui opposera le MC Alger à Kwara United du Nigeria, le 18 mars prochain, aura lieu à Kouba contrairement à ce qui a été annoncé dans la presse hier. A cet effet, c’est le président du directoire, Omar Katrandji, qui nous a confirmé l’information après concertation avec toutes les parties. «Nous avions cinq éventualités. L’idéal était de recevoir cette équipe de Kwara United au stade du 5-Juillet, mais je dois dire que Hannachi n’avait pas joué le jeu avec nous et il était dans l’impossibilité de se battre seul pour espérer arracher ce stade pour notre match. En plus, nous avons placé l’intérêt du football national au-dessus de tout et afin de permettre à notre équipe nationale d’affronter le Cap-Vert dans les meilleures conditions, nous avons accepté d’aller chercher une autre domiciliation pour notre match. Il y avait l’option du stade Tchaker de Blida. Ce stade rassemble toutes les commodités pour le bon déroulement d’une rencontre de ce niveau. Une capacité de plus de 35 000 spectateurs, un terrain en gazon naturel où nos joueurs évoluent bien et surtout la possibilité de jouer en nocturne. Mais les joueurs ont opté pour le stade de Bologhine. Sincèrement, je suis contre cette désignation dans la mesure où l’exiguïté du terrain favorise l’équipe qui vient défendre. Il faut dire que cette situation aurait compliqué notre tâche. Il restait alors l’option des stades du 20-Août et celui de Kouba. Pour ce qui est du 20-Août, c’est le même cas que celui de Bologhine et c’est pour cela que nous avons choisi le stade de Kouba qui est plus large et qui permet de développer notre jeu», a t-il souligné. L’équipe entrera en stage bloqué à partir de demain, normalement à l’hôtel El-Marsa et ce jusqu’au jour du match afin de préparer la rencontre dans les meilleures conditions.


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  • LE MCA DOIT-IL VIVRE ÉTERNELLEMENT SOUS L'EMPRISE DES CRISES ET DES DISSENSIONS ?
    Le Doyen victime de ses enfants


    Le Mouloudia d’Alger est un club à part. Sa vie est rythmée par les résultats de son équipe première. C’est aussi une entité où la nostalgie est toujours d’actualité. Une vertu qui a fait oublier à tous que ce club-flambeau a été créé dans la douleur et a vécu dans la douleur.
    Depuis le Mouloudia “civil” en passant par le parrainage de la firme pétrolière Sonatrach jusqu’au retour aux sources incarné par l’émergence d’une association formée de membres hétérocentriques dont le souci de reprendre le “pouvoir” a débordé sur la philosophie incarnée par les fondateurs du Mouloudia qu’étaient les Derriche, Aouf, Djazouli et tous les autres. La suite, comme le passage à la Sonatrach, n’était que succession de naufrages et d’humiliations. Faut-il pour autant dire que le MCA et son corollaire “El Mouloudia” sont morts de leur plus belle mort, comme le dit si haut un certain Abdelkader Drif que la mémoire collective a “anobli” pour le titre continental de 1976. Une date symbole qui fait rêver les éternels rêveurs d’une certaine hégémonie brutalement interrompue à la fin des années 1970. Les Vert et Rouge, couleurs d’espoir et de sacrifice, ont depuis fondu dans l’oubli. Un titre national après vingt ans de vaches maigres et deux trophées nationaux en 23 ans de navigation à vue ont rallumé la flamme sans pour autant éteindre les feux de la “fitna”. Les historiques voulaient se reprendre un beau rôle et les parrains des 25 ans de disette aussi. Le peuple du Mouloudia, lui, était perdu dans les promesses d’un passé à reconquérir. Divisé, il (le peuple du Mouloudia, ndlr) participera sans le savoir, vouloir et pouvoir à la “désertification”, pis la mortification, des attributs sur lesquels le Mouloudia a fondé sa gloire. A chaque échec, même devant plus fort, c’est le branle- bas de combat. Tout le monde en veut à tout le monde. La dernière contreperformance de l’équipe au Nigeria, où le football est devenu une seconde religion en plus d’être une affaire d’Etat, a ouvert cette plaie à peine “recousue” en juin dernier et le trophée national arraché aux voisins de l’USM Alger. Le mauvais scénario vécu à Ilorin face au Kwara Utd, certes inconnu au bataillon d’abord au Nigeria puis sur la scène continentale, a été une douleur de plus dans les esprits chagrinés des Mouloudéens. Traités de “bleus”, de naïfs et de toute sorte de formes d’incompétences les membres du directoire et leurs collaborateurs de la section ont essuyé, pardessus tout, d’acerbes critiques aussi bien de la presse qui, prosternons-le, ne sait pas plus de ses expéditions africaines que les sportifs eux-mêmes que de la part d’une frange d’ex-joueurs et d’ex-dirigeants qui avaient, à un moment ou un autre de l’histoire noire du club, péché et subi le châtiment exemplaire.

    Si Boumediene savait…
    Comparer le Mouloudia des années 1970 à celui d’aujourd’hui est un exercice lamentable pour la simple raison que les ressources, humaines surtout, de cette époque avec celle où l’Etat était une… providence ne sont plus les mêmes. Aujourd’hui, les Betrouni, Bachi, Bencheikh, Kaoua, Bousri, Bachta, Mahyouz, Zenir, Maloufi, feu Aouedj, Chikh, et d’autres encore ne courent plus les rues. Celles d’Alger notamment. Le Mouloudia nouveau est un “patchwork” dont la raison d’exister n’est pas celle qui faisait vivre le doyen. Le MCA ne compte plus sur ses enfants. Il recrute dans différents horizons et à différentes échelles (même les jeunes catégories font leurs emplettes ailleurs). A qui la faute ? Aux dirigeants actuels de l’équipe (pas question de parler actuellement de club), à ceux qui les ont précédés ou tout simplement à ce même Etat- Providence qui a préféré couper les vivres au mauvais moment ? Le Mouloudia n’a plus de stade, est-ce la faute à ses dirigeants passés et présents ? Peut-être. Car, pour espérer diriger, il faut savoir gérer. Et la gestion veut que le personnel navigant fasse preuve d’un minimum de perspective. Les responsables de l’association “El Mouloudia” le savaient. Eux qui ont hérité de la Sonatrach une simple enveloppe à encaisser à chaque début de saison, pas plus. La Sonatrach n’a laissé aucun patrimoine. Il lui fallait au moins restituer les avoirs mobiliers et immobiliers de l’avant-réforme sportive. Le stade Bologhine a été “cédé” à l’USMA et le cercle de Bab- Azzoun à des particuliers. Que restait-il aux Mouloudéens devenus un SDF. Et forcément le club devient bâtard. N’a-t-on pas entendu et lu que certaines gens voulaient devenir président du MCA moyennant une misérable contribution puisée des… caisses de l’Etat ? Le Mouloudia, que le système a tout le temps sollicité pour trouver une “porte de secours”, est-il devenu si insignifiant que son déplacement au Nigeria nécessite l’intervention personnelle d’un ministre et ce, à quelques heures du départ ? Comment penser autrement quand on s’aperçoit qu’un DG d’un office (celui de l’OCO dont dépend le stade du 5-Juillet) ose - systématiquement - empêcher le doyen des clubs algériens à recevoir ses hôtes sur une pelouse à chaque fois “indisposée” quand il s’agit de subir les crampons de Hadj Bouguèche, Younès et les leurs. Et pourtant ! Au lendemain de son titre continental face aux Guinéens de Hafia Conakry de Chérif Souleymane et Petit Sorri (qui avaient corrigé le Mouloudia chez eux par 3-0, avec un arbitrage scandaleux qui accordera un but inscrit de la main et procédera à l’expulsion injuste de Ali Bencheikh), le défunt président Houari Boumediène avait décrété que le temple olympique soit cédé à l’EN et au MCA. Trente ans plus tard, le Doyen n’a rien, ne sait plus sur quel pied danser. Un monument en carton-pâte.
    M.B.

     


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  •  Finalement et après consultations avec les joueurs les dirigeants ont jeté leur dévolu sur le stade Omar Hamadi , à Bologhine, pour jouer le match retour comptant pour le second tour des éliminatoires de la coupe de la CAF contre l’équipe nigériane de KWARA United qui se déroulera le 18 Mars prochain. Un courrier a été envoyé dans ce sens à la confédération africaine pour l’informer du lieu de la rencontre.

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  • Le retour du Mouloudia sur la scène continentale est entrain de s’effectuer de la manière la plus  catastrophique. Ayant concédé une lourde défaite au Nigeria pour le compte du match aller des  1/16 de finale de la coupe de la CAF, les Algérois auront le regard braqué ce lundi vers le siège  de l’instance footballistique Africaine ou il est prévu de rendre le verdict de la commission de  discipline suite aux accusations portées dans les rapports de l’arbitre et du commissaire au  match à l’encontre de pas moins de six éléments de la formation des Vert et Rouge. Dossier complet.

    Le MCA risque de se retrouver avec 15 licences Africaines seulement
    Du coup, les craintes des Mouloudéens se font de plus en plus légitimes. Le pire des scénarios  est de voir tous ces joueurs mis à l’index subir des suspensions. Un scénario que s’il venait de  se produire, portera un coup dur au team Algérois, d’autant que selon les informations recueillis  au niveau de la direction du club, il n’y a que 22 joueurs qui possèdent des licences Africaines,  dont Belkaid que l’on devrait pas miser sur lui en raison de sa blessure.
    Ainsi donc, si on venait de sanctionner les joueurs notifiés dans le rapport de l’arbitre et du  commissaire du match, il ne restera que 15 éléments, dont deux gardiens à la disposition du staff  technique.
    De quoi rendre la mission des Algérois encore difficile pour refaire leur retard de trois buts.  C’est ce qui explique , en outre, cette panique qui s’est emparée des dirigeants et entraîneurs  qu’ils étaient mis au parfum du contenu des rapports du référée et du commissaire de la rencontre  aller face au Kwara United.
    Justement, pour éviter un tel scénario, les Mouloudéens misent énormément sur les services de la  FAF. Les mêmes propos reviennent d’ailleurs sur les lèvres des dirigeants et des joueurs « la FAF  doit défendre notre cause, car on était bel et bien lésé »

    La FAF irrite les Mouloudéens
    Seulement, les premières démarches entreprises par les responsables mouloudéens en direction de  la FAF ne semblent guère encourageantes. L’un des dirigeants du Mouloudia qui a préféré toutefois  garder l’anonymat, n’a pas caché sa colère contre le patron de la l’instance footballistique  algérienne lui-même « on est allé, raconte t’il voir le président de la FAF pour lui demander de  plaider notre cause auprès de la CAF, grande fut notre surprise quand il nous rétorqué qu’il ne  pouvait rien nous faire. Pourtant, tous ceux qui étaient présents au Nigeria témoignent que notre  équipe a fait l’objet d’un véritable complot auquel ont pris part aussi l’arbitre et le délégué  de la rencontre. La position de la FAF est vraiment décevante »
    En attendant lundi, au Mouloudia l’on prie pour que les sanctions ne soient pas aussi sévères  comme laissent présager les échos parvenant du siège de l’instance footballistique Africaine.

    La LNF fausse les calculs du Mouloudia
    Le Mouloudia a vu sa demande formulée à la LNF et la commission de la coupe d’Algérie pour  programmer son match retard de coupe d’Algérie face à la formation de Bentalha ce lundi au lieu  et place du match de Batna rejetée.
    Une décision qui a mis les dirigeants mouloudéens dans tous leurs états, eux qui craignent pour  leurs joueurs d’autres démêlées sur le double plan physique et moral.
    En effet, en voulant disputer leur match retard de la coupe d’Algérie ce lundi, les responsables  mouloudéens espéraient éviter à leurs protégés une fatigue supplémentaire engendrée par le voyage  de Batna. Comme l’adversaire est de l’Algérois, ils savent que le match sera domicilié dans un  stade de la capitale. Aussi, une victoire face à la petite formation de Bentalha qui évolue en  inter régions pourrait avoir des répercussions positives sur le moral des joueurs, d’autant qu’ ils n’arrivent toujours pas à se remettre du calvaire qu’ils viennent de vivre au Nigeria.
    Mais la position de la LNF ainsi que celle du président de la commission de la coupe d’Algérie  est venue fausser tous les calculs des Vert et Rouge. Ces derniers sont désormais contraints d’ honorer leurs engagements en championnat d’abord par un déplacement ce lundi à Batna pour y  croiser le fer avec le Chabab local dans un match avancé de la 23 ème journée de la compétition  nationale.
    A Batna pour retrouver le sourire
    La sortie du Mouloudia ce lundi à Batna sera suivie avec une grande curiosité. Et pour cause,  tout le monde au MCA est impatient de connaître la réaction de ses capés à la suite de la sévère  défaite que leur ont infligée les Nigérians de Kwara United il y a quelques jours.
    Le visage que va montrer la bande à Fabbro face au CAB devrait être perçu comme un signe  révélateur de l’état d’esprit des joueurs du Mouloudia après leur mésaventure Africaine et s’ils  sont déterminés à prendre leur revanche sur les Nigérians au début de la semaine prochaine.
    Il faut dire dans ce contexte que ce déplacement à la capitale des Aurès est très appréhendé par  la direction mouloudéenne. La preuve, elle a tout fait pour le reporter et le remplacer par le  match de coupe face à la petite formation de Bentalha, histoire évidemment de soigner le moral de  ses troupes par une qualification qui parait à la portée des Vert et Rouge avant de donner la  réplique aux Nigérians.
    Mais au niveau de la LNF l’on n’a pas entendu les choses de la même oreille, obligeant les  Algérois à reprendre leur bâton de pèlerin pour aller défier les Batnéens chez eux. Un rendez  vous, qui même s’il est tombé au mauvais moment pour le Mouloudia revêt une importance  particulière. Les Vert et Rouge qui restent sur une défaite en championnat si=ont tenus de  réussir un résultat probant à Batna s’il veulent recoller dans le peloton de la tête. Un autre  échec risquerait de les éloigner même des places qualificatives à une compétition internationale  la saison prochaine, d’autant que les postulants, dans ce registre, se font de plus en plus  nombreux. Cela dit, les retombées d’un autre échec risqueraient aussi de s’avérer néfastes sur la  prochaine sortie Africaine des gars de Bab-El-Oued. Voila une autre raison qui pousse les  Algérois à se surpasser dans ce match contre le CAB, une formation qui aura à cœur de se racheter  de sa lourde défaite de ce jeudi à Blida et qui l’a plongée davantage dans le bas du classement.  C’est dire que les circonstances de la rencontre ne sont pas en faveur du team Algérois.
    Et ce n’est pas fini puisque les Mouloudéens devront se passer, en la circonstance, des services  de certains joueurs, en particulier, Babouche qui souffre d’une blessure et Hamadou qui devra  purger sa suspension pour cumul de cartons et ce, sans oublier Belkaid dont l’absence, en raison  d’une blessure à la cuisse, est plus longue que prévue


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