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    KERMALI Abdelhamid

     

    Un "Cheikh"

     

     

    pour lancer les "jeunes"

     

     

    Carrière de loin brillante et féconde en tant que joueur et en qualité du seul entraîneur à avoir offert à l’Algérie la coupe d’Afrique des nations (la seule d’ailleurs), en 1990, et un autre trophée afro-asiatique. La qualification des juniors pour la phase finale du Mondial du Japon en 1979 est l’œuvre du cheikh. En cette période de vaches maigres, le football algérien peut s’enorgueillir de la contribution d’un homme qui a bourlingué plus de 60 ans d’un stade à un autre, d’une contrée à une autre et d’un pays à un autre. Kermali, qui s’est distingué beaucoup plus comme manager, fait partie de cette race d’hommes passionnés qui ont fait et marqué l’histoire du sport roi, chez nous. La vie de Kermali qui a ouvert les yeux à Akbou (Béjaïa) le 27 avril 1931 n’a pas été facile. L’aîné d’une lignée, qui en comptera deux frères et une sœur, devient « majeur » en charge d’une famille, à l’âge de 10 ans. Et ce, suite au décès du père (militaire de carrière) au début de la Seconde Guerre mondiale. La disparition de Lakhdar un Sétifien de souche a beaucoup marqué Abdelhamid (dit Karboua) et sa famille qui ont, dès lors « sombré » dans la misère. Le jeune a de ce fait vécu et grandi dans le dénuement le plus total. Son enfance et adolescence sont faites de pauvreté, de difficultés de tous genres et aussi de rêves devant l’aider à sortir de l’ornière. Jamais il n’occultera le moindre aspect des pénibles conditions d’une jeunesse « confisquée ». L’orphelin sera des années durant livré à lui-même. Son contact avec l’école n’a pas dépassé le seuil du cours de fin d’études primaire. Le bonhomme qui a traversé les bancs d’Albertini (Mohamed Kerouani) comme un météore avait d’autres chats à fouetter que de passer le clair de son temps enfermé entre quatre murs. « Pour avoir négligé puis abandonné mes études, un jour d’examen, j’ai reçu des corrections à n’en plus finir de ma mère, fatiguée de courir les champs à ma recherche. A aucun moment, elle n’eut le moindre espoir de me voir prendre des distances avec le ballon rond », dira Kermali qui a été découvert par Benaouda (Lyass), Abid et Abdelkader Laklif, ces dénicheurs de talents qui sillonnaient les terrains des quartiers populaires, Tels Bel Air, Tandja (cité Yahiaoui), les cheminots, la Gare, Bon marché et le centre-ville où habitait Kermali qui fit son entrée en équipe seniors, en 1948, à l’age de 17 ans. A l’occasion d’un certain USFMS-AS Bône. Avec deux buts à la clé, ce coup d’essai fut, le moins qu’on fuisse dire, un coup de maître. Kermali gagne vite en maturité et s’imposera rapidement comme un incontestable titulaire du flanc droit de l’attaque usmiste. Ses prouesses emballent les initiés, savourant à chaque spectacle le style, les accélérations et ouvertures lumineuses de ce jeune. A l’issue d’un match de coupe USFMS-Etoile de Skikda, disputé à Constantine, un colon qui a été vraisemblablement épaté par la classe du Sétifien, lui signifia qu’il devait tenter sa chance en France. Cette proposition l’enchante, lui donne même des idées. D’autant qu’il voulait faire du ballon rond une profession. Sans se soucier des conséquences Kermali qui s’est fait un nom à côté de Souna, Sahraoui, Assassi, Safsaf, Selami, Lakhlif II, Zaiar, Kari Amara Djeridi et bien d’autres figures, et, sur un coup de tête, prend, un jour, la direction d’Alger où il a signé une deuxième licence à l’USMA. Cette « fugue » n’a pas été du goût des Grenat. A défaut d’une longue aventure à Soustara qui s’est achevée au bout de quelques mois, Kermali est obligé la mort dans l’âme de revenir au bercail. Cette aventure lui vaut une suspension de deux années. La sanction accentue la galère du joueur qui devient du jour au lendemain chômeur. Pour sortir du « trou », l’exil taraude l’esprit de l’aîné d’une famille vivant toujours dans la misère. Un jour, il subtilise 10 000 francs à la vieille et prend le chemin de l’Hexagone. Mulhouse sera la première étape. La première saison (1955/56) en France sera un régal pour les amateurs de la technique raffinée. Cette remarquée et remarquable entrée en la matière, attire les recruteurs et imprésarios. Les sollicitations de l’AS Cannes (un club de D II) où évolue un autre Sétifien, feu Mokhtar Arribi, ne laissent pas indifférents la nouvelle star qui voit désormais grand. Après un round de négociations, Kermali, rejoint à Cannes le grand Mustapha Zitouni.

    Un palmarès bien rempli A la croisette, le petit Sétifien explose, étale toute sa classe, impressionne coéquipiers et adversaires. Malgré, un handicap de gabarit, Karboua, se comporte tantôt comme ailier tantôt comme avant-centre, et des fois comme passeur. A l’issue de la saison (1956/57), l’Olympique lyonnais qui vient de s’attacher les services de Troupel (l’ex-coach de l’AS Cannes), fait les yeux doux à Kermali. La présence de l’entraîneur susnommé et d’une importante communauté d’émigrés à Lyon, le pousse à rejoindre le pays des Gones. Kermali réalise à côté d’André Laurent (capitaine de l’équipe de France), du Brésilien Costantino et d’autres vedettes, une saison de rêve. La seconde s’achève pour lui et pour bon nombre de professionnels algériens, un dimanche 13 avril 1958. A l’appel de la patrie, Kermali (Lyon), Arribi (Avignon), Bouchouk (Toulouse F.C), et Mekhloufi (As Saint Etienne), formant le groupe des Lyonnais, qui a transité par la Suisse et l’Italie, rejoint dimanche 20 avril 1958, Tunis où allait débuter l’épopée de la glorieuse équipe du FLN. « Le combat mené avec mes compagnons qui ont eu la chance de faire l’histoire restera à jamais gravé dans ma mémoire », précisera le cheikh ayant tenu à rapporter le témoignage de Ferhat Abbas : « Les ralliements des footballeurs démontraient, à l’évidence, aux yeux de l’opinion internationale que la révolution et la guerre d’Algérie intéressaient tous les Algériens. » A l’indépendance, le cheikh réintègre l’USMS qui rachète son contrat de Lyon. Kermali a failli disputer à l’issue de la première saison sportive (62-63) de l’Algérie indépendante une inédite et historique finale de coupe (ESS-USMS) mais l’ES Mostaganem, lors de la demi-finale, en a décidé autrement. Avant de rejoindre l’Entente en 1966, avec laquelle il décrocha en 1967, une coupe d’Algérie en qualité d’entraîneur joueur, Kermali s’est durant trois saisons (1962-66) beaucoup investi à l’USMS. Le défunt Dekoumi, président de l’Entente, engage celui qui allait devenir des décennies durant le Héléno Herrera algérien. Le « sorcier » va bouleverser le jeu de l’ESS. Un football vivace, fait de petites passes, prend la place des longs dégagements et des folles chevauchées. Ce technicien de première ordre est devenu, en matière de stratégie, un pionnier. Il peut se targuer d’être le premier entraîneur à avoir introduit le 4-3-3 en Algérie. Axé sur un plan, préalablement, élaboré en fonction de l’adversaire, le jeu à Kermali ne laisse rien au hasard. La griffe du cheikh ayant donné à l’aigle noir sétifien une âme, une personnalité, la spécificité d’équipe technique ainsi que le légendaire second souffle marqueront pour longtemps l’ESS, l’autre religion de milliers de supporters. La méthode du Vieux, a fait de lui, l’un des techniciens les plus sollicités. Il est l’un des rares coachs à avoir drivé des formations de l’Est, (USMan- CSC- USC- HBCL- CABBA- USMS et ESS), du Centre (MCA) et l’ES Mostaganem, de l’ouest du pays. Sa réputation a, faut-il le rappeler, dépassé les frontières. Kermali, qui se dit pompier quand il aborde le volet de l’équipe nationale, a dirigé l’Itihad (Libye), Ras El Kheima (Emirats) et l’AS Marsa (Tunisie) où il a effectué durant trois saisons un travail de titan. Ses trois passages au MCA (1983,1988 et 1999) sont les autres faits saillants d’une longue et brillante carrière : « Mon expérience avec le Mouloudia qui occupe une bonne place dans mon cœur était exaltante et enrichissante à la fois. C’est un honneur d’entraîner ce club mythique. Je suis autant fier et heureux d’avoir arraché un titre avec le club le plus populaire du pays. Il m’est impossible d’oublier les moments passés dans cette institution, dirigée à l’époque par des hommes de la trempe de Djouad, Drif, Haouche et bien d’autres dirigeants, dignes d’une formation drainant à chaque sortie, plus de 60 000 supporters », souligne le cheikh.

     

     

    Pour la saison 1983-1984, le "cheikh" a surpris tout le monde en mettant toute la famille du Mouloudia dans sa poche par sa rigueur et sa compétence en commençant par convaincre les cadres de l'équipe de sa politique bien qu'il entama un conflit ouvert avec les Bousri, Bencheikh et Bellemou lors du stage de l'inter saison en RDA avant que tout le monde n'adhère à sa stratégie.

    Son amour pour la formation et l'éclosion de jeunes talents, il n'hésite pas à mettre dans le bain les jeunots plein de talents à l'image de Mokhnache, Meziani, yousfi, Hadjazi et pousser les anciens Bellemou, Mahiouz et Bousri à quitter le club pour l'O.Médéa.

    Son classement en 4ème position à 3 points du champion le GCR Mascara, à mis tout le monde d'accord quand à ses bons choix et sa bonne formule pour atteindre les sommets avec le travail et la rigueur.Il rate de se qualifier contre le Ahly du Caire en coupe d'Afrique des vainqueurs de coupes par la faute de l'arbitre qui refusa le but qualificatif à Ferhi au stade de caire.

    Il reviendra par la suite au Mouloudia par la grande porte sans toutefois continuer son oeuvre.


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  • KAOUA Abdenour coupe d'Algérie 1983

     
     
     

    ABDENOUR KAOUA

     

    Une belle coupe d'Algérie 

     

     

    Sobre, athlétique, remarquable par son sens du placement et sa technique du maniement de la balle, Kaoua est un des plus grands gardiens de but de notre histoire.

    Il était de la vraie graine des portiers. Très sûr dans la surface de réparation, il savait organiser sa défense et se montrer très vigilant sur les balles aériennes. Kaoua Abdenour avait d’énormes qualités naturelles, des réflexes remarquables et une très bonne présence sur les balles aériennes. Jamais une sortie à retardement, toujours bien placé.

    Il s’acquittera durant plusieurs années de beaucoup de sobriété de cette confiance qui lui sera renouvelée à chaque fois par les dirigeants du MCA. Kaoua Abdenour a remporté beaucoup de titres avec le MCA et aussi la plus belle Coupe d’Afrique des clubs champions en 1976 avec un match mémorable et héroïque au Caire contre le Ahly d’Égypte.


    Voilà un gardien de but que la mémoire sportive n’oubliera pas d’aussitôt car il a marqué son passage de footballeur au sein du MCA par son sérieux, sa gentillesse, son éducation et son élégance.

     

     

     

    En passant de l'autre coté de la barrière, Abdenour ne pensait jamais prendre en main son équipe fétiche , lui qui manquait d'expérience au plus haut niveau mais sa confiance en lui même et son amour pour le Mouloudia le poussa a accepter la délicate mission en 1981 après le limogeage de Salem Mohamed et qui le voit conquérir hautement la coupe d'Algérie Militaire en drivant l'équipe des Transmissions et de réussir un autre coup d'éclat la saison d'après en 1982/1983 en surclassant de grands ténors à l'image de la JSK, le CRB ou le RCK pour finir en beauté en finale contre les Asémistes oranais dans un match inoubliable.Un trophée ajouté à celui remporté auparavant avec l'équipe militaire de la transmission.

    Fiche technique

    Nom complet : Abdenour Kaoua

    Date de naissance : 14/06/1949 à Alger

     

    Palmarès:

    • 5 Championnats d'Algérie
      3 Coupes d'Algérie (joueur) et 1 coupe en tant qu’entraîneur 1983
      2 Coupes du Maghreb 1971 et 1974
      1 Coupe d'Afrique des Clubs Champions 1976
      Coupe Militaire avec l'ESAT (école des transmissions) 1986 en tant qu'entraîneur avec comme joueurs les Mouloudéens Ghrib, Maniche et Yacef

      Vice-Champion du Maghreb 1975 à Tunis (Finale Club Africain-MCA)
      1/2 finale coupe d’Algérie perdue contre la DNCA saison 1981-1982

      plusieurs titres avec Al-itihad de jeddah (Arabie Saoudite)  dont la Ligue des Champions Asiatique en 2004 contre les Coréens du Sud Sau Seongnam Ilhwa Chunma 1-3 à domicile et un exploit 5-0 à l'extérieur (il remplace l’entraîneur en chef Ivic limogé au match Aller)



      Parcours professionnel:

      AS Saint-Eugène (pupilles)

      1962-1966 AS Fontenay (Paris)

      1966-1979 : MC. Alger


      Entraîneur MCA 1981-1983 puis DTS
      1985/1986 Entraîneur des Gardiens du MCA et Entraîneur ESAT (militaire) (école des transmissions)
    • 1987/1988 participe avec Zenir, Bachi et Smail Khabatou à la sauvegarde du MCA de la relégation

      Entraîneur des gardiens de l'EN 1991 jusqu'à la CAN 1992 au Sénégal avec Kermali

      Entraîneur des Gardiens de but MCA 1995-1996 avec Ali Bencheikh et Biskri

      Entraîneur des gardiens de l'EN A 1998-1999 avec Ighil Meziane (3 matches Ouganda, Bulgarie et Tunisie)

      Entraîneur des Gardiens de but de l'EN A avec Madjer 2001-2002 (Dernier match à Bruxelles)

      Entraîneur des Gardiens de but d' Al-ittihad Jeddah

      Entraîneur en Arabie Saoudite (préparation coupe du monde 2006)

      Entraîneur des Gardiens de but de Echabab Esaoudi (Arabie Saoudite) 2009

      Responsable de la formation des Gardiens de l'EN auprès de la FAF 2009

      Entraîneur des Gardiens de but de l'EN A' et Olympique avec Abdelhak Bencheikha 2010

      Entraîneur des Gardiens de but de l'EN A avec Abdelhak Bencheikha 2011


      Entraîneur adjoint équipe d'Algérie A' 2011 (4ème au CHAN au Soudan)
      Entraîneur des gardiens de but de l'EN avec Vahid Halilhodzic 2011-2013
      Responsable de la formation des gardiens de but auprès de la DTN

      Manager Général du MCA en 2013 (démissionne après quelques jours de sa nomination)



    • 11 sélections avec l'EN du 27.2.1969 au 1.11.1976

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    MAHMOUD BACHA
     
     
     
    Abdelhamid 
     
     
     
     
     
     
    Né le 22.4.1949 à Alger, titulaire de la licence CAF "A", son parcours végète entre le Mouloudia et le CRB comme son ami de toujours Mustapha Heddane d'où la complicité entre les deux qui ont longtemps travaillé ensemble.
     
    pour cette saison 1980/1981, Bacha sera associé au yougoslave Naumovic pour quelques matches avant de prendre les règnes du club seul après le départ du second nommé.
     
     
     
    BACHA connaissait dèja la maison puisqu'il avait déja dirigé les jeunes catégories du MCA en remportant la coupe d'algérie des cadets en 1979 contre l'ASMO, ce qui ne posait pas de problèmes d'intégrations et avait la pleine confiance de ses dirigeants.
     
    Héritant d'un effectif juste moyen mais plus aguerris avec des internationaux Bouiche, Bencheikh,Belloumi ou Mahiouz, il réalisa un saison acceptable en se classant à la cinquième place malgré l'absence de ses meilleurs internationaux sollicités à chaque fois sans être remplacé dans l'effectif mouloudéen.Le retour tardif de Bencheikh et Bellemou et la blessure de Bouiche n'a pas aidé le coach dans son travail bien qu'il termina la saison en force.
     
    Avec une attaque qui marqua 48 buts, il trouva des difficultés à solutionner le problème de la défense qui encaissa trop de but (43 au total) ce qui a empêché le MCA de finir parmi les premiers.

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    BOUDISSA Amar

     

    Un formateur de renom

     

     

    Connu pour avoir entrainé les Madjer,Fergani, Ighil,Merzekane et autres pépites du NAHD au début des années 70, Boudissa s'est vu son nom lié à la formation dans la grande école Nahdiste.Au début de la saison 1979, il prend les commandes du Mouloudia après le départ de l’entraîneur en place , le Yougoslave Naumovic après quelques journées du début de championnat.

    Connu par son intransigeance sur le plan disciplinaire et sa rigueur tactique, Amar a pu mener le MCA à la 8ème place malgré un effectif moyen et l'absence répété des internationaux Mahiouz et Belloumi.

     

    Officiellement il fait sa première apparition sur le banc du Mouloudia le vendredi 23 Novembre 1979 au stade de bologhine contre l'équipe de l'ASTO (El Asnam, Chlef actuellement) pour le compte de la 6ème journée avec à la clé une victoire étriqué sur le score de 3-2.

    il a le mérite aussi d’accéder aux 1/4 de finale de la prestigieuse coupe d'Afrique des clubs en éliminant le Stella Abidjan dans une soirée mémorable avec un doublé de Belloumi et ce superbe but dans les dernières minutes qui donna la qualification aux Mouloudéens.

     

    Boudissa quitte le MCA en fin de saison en menant à terme sa mission à savoir donner chance aux jeunes joueurs du cru à l'image de Bouiche qui va devenir la star de demain.
     
     
     

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    NAUMOVIC-IBRIR

     

    Un duo en 5ème vitesse

     

     

     

    Une première au Mouloudia, Naumovic un yougoslave sera nommé à la tête de l'équipe avec comme adjoint un enfant du club, le superbe gardien de but des années 40 Ibrir Abderrahmane. Une lourde tâche attendait le duo à savoir maintenir le Mouloudia au sommet de la hiérarchie en conservant le titre de champion acquis avec brio la saison précédente.

    Le MCA est devenu un épouvantail qui faisait peur à tous, une équipe à battre par toutes les équipes, ce qui rendra encore plus difficile la mission du duo en place.

    Mais quand le savoir et l'expérience s'allient, au bout le sacre ne sera que logique, ce que vont obtenir à la fin de cette saison Naumovie et Ibrir Abderrahmane en permettant au MCA de remporter son 5ème titre de champion d'Algérie

     

    Mais une absurde décision ministérielle va stopper leur élan et celui du Mouloudia qui dominait le football algérien. En effet le ministre des sports de l'époque va interdire aux joueurs Mouloudéens âgés de 28 ans de poursuivre leur carrière sous prétexte qu'ils soient non performant et de ce fait les champions d’Afrique, Betrouni, Bachi, Kaoua, Amrous,Zemmour, et le champion d'Algérie Ait Chegou Djilali vont quitter le club et freiner l'hégémonie mouloudéenne sur les compétitions nationales.Une cassure volontaire qui va obliger le club à reconstruire de nouveau sans toutefois y arriver car il n'est jamais facile, voir impossible de remplacer la dream team de 1976.



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